Pharmacie : tout savoir sur l’encapsulation

Pharmacie : tout savoir sur l’encapsulation

Dans le domaine pharmaceutique, il ne s’agit pas de la thématique la plus évoquée, mais l’encapsulation a son importance. En effet, les médicaments ont, pour la plupart, besoin d’être conditionnés pour être « consommés » par les patients. Voici ce qu’il faut savoir sur ce sujet-clé.

Du développement à la production

Il existe bon nombre de prestataires spécialisées qui représentent un réel plus pour les experts médicamenteux. Ceux-ci sont capables de procéder à toutes les étapes pour conditionner ledit médicament. Les étapes-clés sont liées à la déshydratation, à la granulation, et bien entendu, à l’encapsulage. Celles-ci nécessitent un savoir-faire unique et des machines bien spécifiques comme celles proposées par www.inodry.com.

Pour rappel, la déshydratation consiste à réduire en poudre les ingrédients d’un médicament, et ce, via des produits dits thermo-sensibles. Égaiement, concernant la granulation, il s’agit alors d’agglomérer les éléments de l’étape précédente.

Au-delà de cette agglomération, il peut aussi s’agir d’un ajout (nouvelles propriétés) au médicament. Enfin, concernant l’enrobage, l’objectif est simple : protéger le principe actif du médicament contre les « ennemis » extérieurs comme l’air, le soleil, l’oxygène et bien évidemment la lumière qui est source de dégradation.

Les médicaments concernés par l’encapsulation

Les médicaments ou « autres » peuvent concerner les compléments alimentaires, les produits pharmaceutiques « classiques », les éléments de nutrition dédiés aux animaux et bien d’autres items.

Dans tous les cas, il est vivement recommandé d’opter pour des prestataires capables de réaliser toutes les étapes du processus, à savoir de la déshydratation à l’enrobage. Cela permet notamment de gagner du temps et d’éviter les soucis sanitaires comme logistiques liés.

Contrairement à certaines industries qui évoluent à la vitesse grand V, les médicaments auront toujours la même forme. En ce sens, ils auront toujours besoin d’être « conditionnés » pour être absorbés plus facilement par les patients.