Les compléments alimentaires naturels, où en sommes-nous ?
Le marché des compléments alimentaires naturels a le vent en poupe depuis plusieurs trimestres. Après un démarrage plutôt puissant puis un relâchement, ce marché si particulier a trouvé son rythme de croisière.
Voici tout ce qu’il faut savoir sur les bienfaits des compléments alimentaires naturels.
Des ventes au top
Les experts des compléments alimentaires naturels parlent d’une seule et même voix en indiquant que ce marché n’a jamais été aussi dynamique. D’ailleurs, certains n’hésitent pas à indiquer que les ventes actuelles sont proches de celles du début des années 2000, véritable âge d’or des compléments alimentaires naturels.
La promesse faite au client est simple, à savoir une meilleure santé grâce à des produits biologiques à base de plantes. La santé a toujours été un secteur clé sur internet et d’autant plus avec les compléments alimentaires naturels. Certains sites comme Valebio.com sont parmi les plus réputés de ce secteur particulièrement concurrentiel.
Des poids lourds comme protagonistes
Au sein de ce marché, il est important de noter que des poids lourds de la pharmacie en sont les protagonistes. C’est notamment le cas de Sanofi ou de Merck pour ne citer qu’eux.
Les perspectives pour les 24 mois à venir sont particulièrement positives puisque le réseau de distribution potentiel s’est largement densifié ces derniers mois grâce aux pharmacies en ligne et aux grandes surfaces qui jouent à présent le jeu (cela n’a pas toujours été le cas).
Les autorités françaises veillent au grain
Il est important de noter que le marché français est l’un des plus surveillés au monde contrairement au marché américain. Que ce soit pour maigrir ou pour améliorer ses performances lors des séances de musculation, les compléments alimentaires naturels sont surveillés pour le bien-être des consommateurs.
Il semblerait donc que la phytothérapie ait le vent en poupe, et ce, pour quelques années au moins. N’oublions pas que ce marché pèse déjà plus de 14 milliards d’euros en Europe et environ 1,5 milliard d’euros au sein de l’hexagone.
